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 Femme et feminite (après accouchement)

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akiko

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MessageSujet: Femme et feminite (après accouchement)   Femme et feminite (après accouchement) EmptyMer 27 Jan - 19:10

Voici ici quelques témoignages récupérés sur http://www.accompagnement-naissance.com

De tradition orale, je me demande comment mettre en commun ces histoires de femmes pour nourrir d’autres femmes. Inspirées de faits et vécus réels, les noms sont de pure fiction. De conversations en conversations, découvrez d’autres réalités. Quand le monde s’ouvre avec d’autres perspectives, on enrichit profondément sa vie. Tout est question de point de vue.

1.Reprendre la sexualité après l’accouchement

"Fanny : On m’a dit qu’il fallait attendre 1 mois avant de reprendre la sexualité. Est-ce vrai ?
L’accompagnante :
Il n’y a pas de règles établies. Chaque femme fait comme elle le sent et surtout quand elle se sent prête. Le corps de la femme peut être prêt à la reprise des relations sexuelles dans les 10 jours qui suivent l’accouchement.

Fanny :10 jours ! C’est super tôt. Comment est-ce possible ?

L’accompagnante :Plusieurs situations peuvent se présenter favorisant une reprise rapide.
L’arrêt normal des saignements (liés à la cicatrisation de la muqueuse utérine) avant 10 jours.
La cicatrisation d’une épisiotomie au bout de 5 jours (même si les fils ne sont pas résorbés, sauf complications, les tissus sont cicatrisés).
L’absence ou la résorption totale des oedèmes ou hématomes à la vulve.
Et puis n’oublions pas, le retour du désir ! Il peut être immédiat même avec un allaitement. Une femme racontait un jour : « ah ! J’avais le feu au cul ! 10 jours après son accouchement. Mon mari était tout étonné, mais devant ma soif, il s’est laissé convaincre».

Fanny : Ah ! Ah ! Alors là, ça m’épate. Je rêve de ça. Bon, admettons et si c’est long et difficile ? Ca arrive, n’est ce pas ?

L’accompagnante : oui bien sûr, c’est possible.

Fanny : C’est dû à quoi ?

L’accompagnante : Si l’accouchement ou la grossesse a été difficile sur le plan médical ou mal vécu, la femme peut se sentir meurtrie (physiquement comme plus profondément). Elle peut ainsi garder une appréhension pour réinvestir son corps et son plaisir.

Fanny : Oui, j’ai entendu ça. Une véritable peur.

L’accompagnante : Oui, on peut dire ça, mais ce n’est pas toujours le cas. Certains freins sont liés au contexte général. Par exemple, après l’accouchement, le temps et le plaisir partagés avec bébé sont parfois une bonne raison pour ne pas se réinvestir dans la sexualité. Il y a une satisfaction tout autre qui comble les désirs de la femme. Les douleurs cicatricielles, la fatigue, les levers successifs la nuit ont aussi vite fait de décourager les moins motivés.
Plus la femme repousse le moment pour s’y remettre, moins l’envie vient. C’est la pratique qui nourrit l’envie, pas le contraire.

Fanny :Attends. Répètes.

L’accompagnante : C’est la pratique qui nourrit l’envie, pas le contraire.

Fanny :Si je comprends bien, si l’envie ne vient pas, il ne faut pas attendre.

L’accompagnante : Exact.
Si le compagnon ne rappelle pas à sa femme qu’elle est encore femme disons sexuelle, alors elle peut s’oublier dans la maternité. Au début, les relations sexuelles peuvent être vécues de façon plus mécaniques. C’est au compagnon de ramener sa femme vers la douceur et la sensualité, elle pourra dépasser ce qu’elle sent.

Fanny :Oui, mais quand ça fait mal ? Que fait-on ?

L’accompagnante :Comme pour accoucher, on se détend dans le bassin, dans le périnée.
Tiens, je vais te raconter l’histoire de Marie :
« Lorsqu’elle a eu envie de reprendre les relations sexuelles, son mari ne pouvait pas pénétrer le vagin. Le gland ne pouvait pas entrer. L’envie était là, mais pas de passage. Tout était redevenu serré. »
Tu me suis ?

Fanny : Oui.

L’accompagnante :Comme elle sentait que ça bloquait, elle a donc demandé à son mari de regarder « s’il y avait toujours le trou », je reprends ses termes.

Fanny :Non, ce n’est pas vrai. C’est une blague.

L’accompagnante : Non, je peux t’assurer qu’on peut être inquiétée par ça. Je continue ?

Fanny : Vas-y.

L’accompagnante :Le mari regarde donc. Et bien sur, tout était normal. Mais elle, dans sa panique, elle ne savait pas comment dépasser la situation. Lors de notre 1ère rencontre, elle veut en avoir le cœur net. Est-elle encore normale ? Sais tu combien de femmes n’osent le demander, alors que profondément elles s’interrogent sur leur normalité ?

Fanny :Non.

L’accompagnante :Beaucoup. Bien souvent, c’est la visite post-natale avec le gynéco qui sert de déclic à certaines femmes. Quand il dit : « tout est normal » certaines femmes sont libérées. C’est bête à dire, mais on est tellement coupé du corps qu’il faut l’avis du spécialiste pour s’autoriser à penser et vivre.

Fanny :Et comment ton histoire se finit ?

L’accompagnante : Je lui dis qu’elle est normale(Rires).

Fanny :C’est tout.

L’accompagnante : en fait, à l’examen, elle était crispée. Au moindre contact, elle faisait des bonds. De la même façon, l’entrée de la vulve est totalement crispée. Elle me disait qu’elle avait l’impression d’être redevenue vierge !

Fanny :Je vois bien ce que tu veux dire.

L’accompagnante :Je lui propose de poser la pulpe du doigt, elle perçoit que tout est crispé. Je lui demande avec son ressenti de simplement changer la consistance. Elle relâche progressivement jusqu’à avoir une impression de chamallow et d’ouvrir l’entrée comme si on lançait une pierre dans l’eau et que cela fait des ronds concentriques de plus en plus grands. Tu vois.

Fanny : oui, je vois bien l’image.

L’accompagnante :A partir de là, je lui ai demandé de faire cela avec son mari petit à petit, elle fera de nouveau de la place. La semaine suivante, elle m’a envoyé un texto : « tout va bien »

Fanny :Que s’était il passé ?

L’accompagnante :Des muscles du périnée très serrés, crispés est le signe d’un mécanisme de défense. Quand on se sent agressé, on se rétracte pour se protéger. Le périnée s’est figé pour une raison propre à elle. Dans son histoire, après l’accouchement, elle a eu une très grosse poussée d’hémorroïde. Son état était tel, que le médecin a préféré intervenir chirurgicalement. Donc, la douleur et l’intervention, c’était beaucoup juste après l’accouchement.

Fanny :
Oui, en effet. Je réalise qu’on ne connaît pas ou peu connaître notre corps et ce qu’il peut arriver.

L’accompagnante :Oui, c’est un peu ça, mais il y a des réponses qu’on n’a pas dans les livres."
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akiko

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MessageSujet: Re: Femme et feminite (après accouchement)   Femme et feminite (après accouchement) EmptyMer 27 Jan - 19:11

2. Comment le corps se transforme de nouveau et reprend sa forme dans
les premiers mois qui suivent ?


"Alexia : Et bien, je ne me sens pas bien dans mon corps. J’ai eu quelques soucis avec l’allaitement où je ne savais plus trop quoi faire avec mes gros nichons. Tu vois, ces nichons, c’est exceptionnel. Ils n’ont jamais été aussi gros. Vraiment à photographier ! Mais là, même si ça marche bien, je n’arrive plus à me retrouver.

L’accompagnante : Quand est-ce que tu as commencé à ressentir que ça n’allait pas bien ? Veux tu t’installer sur ma table, s’il te plait ?

Alexia : Oui. Je me déshabille ?

L’accompagnante : Non, pas nécessaire. Sauf si tu as envie de te mettre à l’aise ou besoin de me montrer quelque chose. Alexia s’allonge et l’accompagnante se pose à son coté, assise sur une chaise. Bien, je t’écoute.

Alexia : Un mois et demi après l’accouchement, j’ai eu un gros coup de fatigue. Normal, je me suis dit, après l’euphorie du début. J’ai eu l’impression que c’était un contre coup. Un vrai coup de blues. Te souviens tu quand je t’ai appelé parce qu’Antoine pleurait beaucoup.

L’accompagnante : Oui. Je m’en rappelle en gros, mais redonnes moi des détails.

Alexia : Je pensais qu’il n’avait pas assez à manger. Je le mettais tout le temps au sein. Bon, en fin de compte, j’avais l’impression qu’il n’y avait plus de lait non plus. Plus j’étais désespérée, plus il chouinait. Crevée, je ne pouvais plus penser. J’avais la tête dans le gaz.

L’accompagnante : En combien de temps il y a eu un mieux ?

Alexia : Le temps d’accepter mon état. D’accepter le fait que je n’avais pas à répondre inlassablement à ses pleurs par la mise au sein. Je vais dire 4 à 5 jours. Te souviens tu de ma question au sujet du temps ?

L’accompagnante : A partir de combien de temps tu devais considérer que cet état « dépressif » (elle fait les guillemets avec ses doigts) nécessite de consulter un spécialiste ?

Alexia : Oui, celle là. Tu sais, j’ai bien cru que je n’allais pas en sortir.

L’accompagnante : Je sais, mais tu avais déjà atteint ta limite. En m’appelant, tu étais déjà en marche pour changer ça, n’est-ce pas ?

Alexia : Oui, c’est vrai. D’ailleurs, je repense à un truc important. Une parole qu’on a échangé qui a été un déclic.

L’accompagnante : Ah ? Laquelle ?

Alexia : « Oser faire confiance à son bébé. » Je crois qu’à partir de ce moment-là, j’ai abandonné quelque chose. Vouloir tout contrôler pour être au top.

L’accompagnante : Ah, le top niveau. Ah, la vie moderne ! Cela fait partie du forfait « femme en quête d’excellence » ! Mais, on n’est pas obligé de suivre ces valeurs dans tous les points de vue de la Vie. Maintenant, dis-moi où en es tu, physiquement ? As-tu eu ton retour de couche ?

Alexia : Eclaire moi, le retour de couche ???

L’accompagnante : Le retour des règles.

Alexia : Ecoute, à vrai dire, je n’en sais trop rien. J’ai saigné pendant plus d’un mois. Puis, il y a eu par intermittence des saignements qui sont allés et venus. Alors maintenant...

L’accompagnante : Ah ! Bon ? Et les flux, abondants ? Tu ne t’en n’es pas inquiétée que cela traîne aussi longtemps ?

Alexia : oui, plutôt abondant quand même. Pas vraiment inquiète. Parce que je croyais que le retour de couche, c’était saigné jusqu’à 6 à 8 semaines. Alors pour moi, cela me semblait normal.

L’accompagnante : As-tu remarqué que lorsque la fatigue revenait, les saignements augmentait aussi.

Alexia : J’ai eu l’impression que c’était l’inverse.

L’accompagnante : C’est aussi vrai, au fil du temps. Un vrai cercle vicieux. Plus le corps se fatigue après un accouchement, plus l’utérus se relâche et saigne à nouveau. Tu vois, (elle croise ses 2 mains) quand les fibres musculaires se rétractent, les vaisseaux se collabent. Et l’utérus se cicatrise.

Alexia : Punaise, j’étais complètement à coté de la plaque. La fatigue, c’était donc pour ça ?

L’accompagnante : Entre autres. Par conséquent, la confusion, la perte de mémoire aussi.

Alexia : Super, je n’étais pas en train de perdre la tête. Merci, je suis rassurée (Alexia se marre).

L’accompagnante : Bien oui, c’est logique. Si on n’a moins de globules rouges dans le sang, il y a moins de cellules pour transporter l’oxygène dans tout le corps. Pour être en santé, l’O2 nourrit en priorité les organes aux fonctions vitales essentielles. Certaines aires du cerveau non prioritaires sont laissées de coté, comme celle qui permet d’y voir clair dans ce qui nous arrive ou celle qui permet de faire de lien avec les émotions.

Alexia : Evidemment. On n’arrive pas à prendre du recul. On est à fond dans l’émotionnel. Et aucun relais entre les deux.

L’accompagnante : oui, et si on rajoute que le corps se réorganise avec les fluctuations d’hormones féminines (qui gouvernent aussi nos émotions)… Par exemple, la progestérone qui chute après l’accouchement. On peut fabriquer un bon état dépressif.

Alexia : Et les muscles encore flaques ! Regardes-moi ce ventre ! (Elle montre son ventre encore bien gonflé) 3 mois que j’ai accouché et on me demande encore c’est pour quand. Non, mais tu te rends compte, la honte. Le ventre plat, c’est pour quand ?

L’accompagnante : 6 mois, un an suivant les femmes, la reprise de l’activité professionnelle ou sportive donnant un nouveau rythme physique, et l’alimentation bien sûr.

Alexia : Ce n’est donc pas l’utérus ?

L’accompagnante : Non, il a repris sa taille normale. Tu sens. (Elle palpe le ventre) si on le cherche, on ne le trouve plus. Regarde, tu vois ça, c’est le gros intestin gonflé comme une chambre à air. Ballonné. Puis, ça c’est de la graisse, pas l’utérus…

Alexia : Arrête ! Ne m’en parle pas.

L’accompagnante : Puis, puis, puis…. les abdos transverses détendus.

Alexia : AH ! OUI. Alors, faire des abdos, ça marche ? Parce qu’ils ont oublié mon adresse. Qu’est-ce que je peux faire ? Vas-tu m’en montrer ?

L’accompagnante : Ou la la, oui. Mais d’abord, on doit s’assurer que tu as bien conscience de leur influence sur le périnée. Si tu passes ton temps à pousser sur le périnée en faisant tes abdos, ce sera pire pour ton périnée. Comprendre comment ton périnée fonctionne au quotidien, retrouver la sensation d’être soulevée et portée dans ta base, c’est la première étape. Ensuite, tu as champ libre pour commencer doucement certains abdos. Et coté urinaire ou gaz, as-tu des fuites ?

Alexia : fuite de gaz ? Retenir des pets ?

L’accompagnante : Oui.

Alexia : ça, aucun problème. Coté pipi, bof. Après l’accouchement, pendant 2 jours, je ne percevais plus l’envie d’uriner.Ca coulait sans que je le perçoive. On m’a dit normal, c’est la péri ! J’étais quand même inquiète. Puis, c’est revenu, alors je me suis rassurée.

L’accompagnante : Et tout est revenu à la normale ?

Alexia : Bien, disons que c’est presque normal. Je ne me retiens pas aussi longtemps qu’avant. En fait, dès que j’ai envie de pisser, c’est beyrouth. Je dois tout arrêter et filer aux chiottes en 4 secondes, sinon c’est la cata.

L’accompagnante : A chaque fois ?

Alexia : Non, maintenant, j’anticipe. Mais si je ne fais pas gaffe, que je laisse passer le temps, ça peut arriver. Quand ça arrive, il n’y a rien à faire. Croiser les jambes, serrer en bas à fond, mettre la main. C’est super déstabilisant. Tu vois, le portrait femme depuis tout à l’heure. Y a de quoi perdre le moral ! La maternité, c’est merveilleux, mais quelle galère pour la femme.

L’accompagnante : Ce sont les changements perpétuels qui bousculent. Mais, le changement, c’est la femme aussi. On est surinformée de tout et à la fois ignorante des notions de base de la santé féminine. Tu vois, par exemple, se retenir d’uriner des heures durant, parce que ce n’est pas l’heure, parce que les toilettes sont crados ou encore parce qu’on n’est pas chez soi, ça met la vessie sous haute pression et ça pousse à bout le sphincter.

Alexia : Oui, je crois que je fais ça depuis le lycée. Savoir que je me retenais longtemps, ça me rassurait.

L’accompagnante : c’est valable, que dans l’exceptionnel, pas tout le temps. La grossesse, l’accouchement sont des révélateurs de ces mauvaises habitudes. On croit qu’ils sont la cause des désordres, mais non, c’est l’habitude à pousser à bout notre corps qui nuit. Voilà encore, l’expression d’être une femme au top.

Alexia : Et maintenant, on fait comment.

L’accompagnante : On change les mauvaises habitudes. On réécoute le corps. On prend soin de SA femme. C’est un peu pour ça que tu es là.

Alexia : Ah, c’est drôle ce que tu dis. Prendre soin de sa femme, ça me parle bien.

L’accompagnante : Après un accouchement, une femme a autant besoin de materner que de prendre soin de sa féminité. Les femmes manquent de ce lien à l’intimité féminine. Sais-tu que l’ocytocine, appelée encore hormone de l’amour, active l’intimité, le lien intime ? Après l’accouchement, c’est l’allaitement qui prend le relais de sa fabrication, mais faire l’amour aussi.

Alexia : Mon mari a pris ses distances vis-à-vis de moi, en tant que femme je veux dire. En tant qu’homme, il me dit qu’il est au summum de son accomplissement. Je trouve ça sensas, il n’a jamais été aussi tranquille dans sa tête. C’est super. Mais moi, j’ai l’impression qu’il manque un truc. Et, c’est ça, l’intimité d’être femme.

L’accompagnante : Du coup, comment se passe vos relations ?

Alexia : Un peu houleux. Je n’ai pas envie de le sortir de son bonheur d’être père, alors je me tais. Mais il sent bien que quelque chose cloche. Il essaie de savoir, ça chauffe. Quand je lui parle, ma confusion, il ne la comprend pas. Il se sent pris en faute, critiqué. J’ai tout pour être heureuse, me dit-il. Tu te rends compte à quel point, c‘est injuste. (Pleurs) Personne pour prendre en compte toute cette souffrance. On a un gosse, on doit être heureuse ! Pour ce qui est de faire l’amour, on repassera.

L’accompagnante : Qu’est ce que tu as envie ?

Alexia : Envie ? D’être en vie, justement ! Me sentir bien dans mes baskets de femme.

L’accompagnante : Alors, je n’ai qu’une chose à dire. C’est avec une femme qu’on apprend à être dans sa féminité. Mais c’est avec l’amour et le regard de l’homme, qu’on se SENT FEMME. Parle femmes avec des femmes, raconte tes histoires de femmes aux femmes, c’est ce qu’on fait aujourd’hui. Exprime à ton homme ce qu’il t’apporte profondément chaque jour. Ils aiment qu’on leur dise, qu’on leur fasse sentir ce qu’on aime en eux, pas qu’on les critique.

Alexia : Ah, oui. Venir là, se poser sur cette table et prendre du temps pour soi. C’est bien ce dont j’avais besoin. Bon, on a du boulot, par où on commence ?"
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